Quel argent des banques centrales pour l’économie réelle ? la BCE a injectée 2 000 milliards d’euros dans le système depuis le début de la crise en 2008. Nous perdons plus de 1 000 emplois par jour ouvré en France. Les banques centrales alimentent la gigantesque bulle spéculative bancaire. Les gains sont privatisés et les pertes mutualisées. 2 000 milliards d’argent de vos impôts pour sauver des banques » too big to fail » et pour vous remercier de votre bonne collaboration l’on vous inflige la rigueur pour palier au déficit de votre état qui de fait s’endette à outrance. Les banques centrales européennes sont la création et la propriété des Rothschild. Par la pauvreté, la misère, l’on vous force à accepter une politique qui détruit la nation au profit d’une entité supranationale basée sur le régionalisme. Le projet suivant est d’instaurer une gouvernance totalitaire mondiale. Les gouvernements ne contrôlent plus l’émission des devises et le crédit. Les usuriers sont au pouvoir et ils détruisent la nation par la dette.
» Pour obtenir le contrôle total, deux ingrédients sont essentiels : une banque centrale, et un impôt progressif, pour que les gens ne s’en rendent pas compte. » Karl Marx ( 1818 – 1883 ).
» Au prochain siècle, les nations comme nous les connaissons seront désuètes. Tous les Etats reconnaîtront une seule autorité centrale. La souveraineté nationale n’était pas une si bonne idée après tout. » Strobe Talbot, secrétaire d’Etat député pour l’administration Clinton, le 20 juillet 1992.
» Nous irons ensemble vers le nouvel ordre mondial et personne, je dis bien personne ! ne pourra s’y opposer. » Nicolas Sarkozy, lors des sa présidence en 2009, devant des ambassadeurs du monde entier lors d’une réunion publique à l’Elysée.
» Nous ne réussirons pas l’établissement d’un Nouvel Ordre Mondial sans en payer le prix en vies humaines aussi bien qu’en mots et en argent. » Arthur Schlesinger Jr, historien et critique politique américain, dans le Foreign affairs de juillet/août 1995.
» La marchandisation absolue du temps : le capitalisme ira alors à son terme : il détruira tout ce qui n’est pas lui (…) il parachèvera ce qu’ a commencé le marché depuis ses origines : faire de chaque minute de la vie une occasion de consommer de la valeur marchande.
L’hyperconflit : les villes, où se retrouveront toutes les formes d’aliénation, toutes les preuves que la démocratie de marché n’est, pour l’immense majorité des humains, qu’une gigantesque escroquerie morale, deviendront les principaux lieux de la révolte (…) Un jour, peut être moins éloigné qu’on ne le croit, l’on verra aussi des pirates de misère, sans motivation théologiques, se faire sauter dans les centres villes d’Europe. On verra aussi des convois de bateaux suicides chargés d’enfants venus du sud exploser en pleine méditerranée, en direct devant les caméras de télévision. »
Citations de l’ouvrage » une brève histoire de l’avenir, » Jacques Attali, ed Fayard, 2006.
